Une récente étude d’ANSES montrent que les français mangent beaucoup de sel
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L’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire, vient de publier une récente étude dans laquelle elle affirme que les français mangent beaucoup de sel pendant leurs repas. L’agence a dénoncé ses pratiques gastronomiques qui sont les causes directes de la maladie de l’hypertension artérielle
En effet, l’étude réalisée par l’ANSES s’est étendue entre 2003 et 2011 et a porté sur les régimes alimentaires de 27 familles françaises.
Les recettes de cuisine les plus mangés et préparés comportent une forte dose de sel ce qui augmente le risque d’atteinte des maladies cardio-vasculaires, l’hypertension artérielle, et dans plusieurs cas le cancer de l’estomac.
Généralement, on distingue le pain et le fromage comme des plats qui comporte beaucoup de sel, mais les plats préparés également comme les soupes, les quiches…et même les céréales du matin et les pâtisseries comportent de forte dose du sel.
En fait, dans l’Hexagone, le sel est utilisé dans la plupart des plats. L’ANSES avertit de l’importance de limiter l’utilisation de cet ingrédient, uniquement dans les emplois les plus utiles.
Selon les Programmes Nationaux Nutrition Santé, il est nécessaire d’utiliser le sel juste pour avoir l’apport nutritionnel quotidien nécessaire, soit 8 grammes pour les hommes et 6,5 pour les femmes et les enfants.
Aujourd’hui, on compte un apport quotidien de 10 grammes chez les hommes et de 8 pour les femmes, ce qui risque d’augmenter les problèmes de santé.
En France, on compte actuellement plus de 15 millions de personnes touchées par l’hypertension artérielle qui provoque elle-même les attaques cérébrales, les infractus…
Comment faire face à l’hypertension artérielle ?
Rien de plus simple, il faut se tenir à un régime pauvre en sel mais qui contient plus de potassium. Il est possible également de remédier à des traitements comme le Lisinopril ou l’Amlodipine.
1 Comment Already
Je m’interroge, est-ce que cette nouvelle étude va déboucher sur une remise en cause des pratique de l’agro-alimentaire industrielle ou va t-elle s’inscrire dans une destruction du patrimoine gastronomique, déjà bien entamé, de France ? Ensuite autre chose est largement passée sous silence dans cette article : quelle est la nature des produits examinés ? Enfin, comment peut-on tirer des conclusions sur une population de 65 millions à partir d’un échantillon de 27 familles ?